Ó Maureen Wingrove / Bragelonne
2014
Edition : Milady
Format poche
Parution : 22/04/2011
312 pages
Résumé : Être reine des vampires n’a pas
que des avantages, croyez-moi ! C’est vrai, je suis plus forte qu’avant et
immortelle. Mais j’aimerais vous y voir moi, passer l’éternité sans
smoothies ! Le sang, ça va cinq minutes. Et comme si ne pouvoir
« vivre » que la nuit de suffisait pas, je dois en plus me coltiner
des cas sociaux… qui cherchent la plupart du temps à me tuer ! Cette fois,
c’est ma famille qui a une dente contre moi. Je savais déjà que ma belle-mère
était une garce, mais voilà qu’elle m’apprend que j’ai une demi-sœur. On
pourrait faire du shopping ensemble si elle n’était pas la fille de Satan…
Mon avis : Ce tome m’a
beaucoup plu et je le trouve meilleur que les autres.
Nous
retrouvons Betsy, ce personnage totalement décalée et passionnée de chaussures.
C’est plaisant de suivre ces aventures car elle ne nous cache rien de sa vie et
parle ouvertement et simplement sans se soucier d’un langage écrit.
Elle utilise
le langage familier et cherche à créer la meilleure proximité avec le lecteur.
On se sent mieux intégré dans la situation aux côtés des personnages.
Ce qui m’a plu
dans ce tome c’est la situation dans laquelle se trouve Betsy, non pas par
rapport à des ennemis mais vis-à-vis de ses amis. Je m’explique : elle a
fait une énorme boulette qui a conduit ses amis à avoir peur d’elle voire à
l’éviter. Tout le monde a déjà vécu une situation similaire et ce sont des
sentiments vraiment horribles à vivre. Et de là Betsy m’a encore parue plus
humaine (Ahah !) et plus proche de nous.
L’histoire du
tome trois tourne autour d’un nouveau personnage : Laura, sa demi-sœur de
l’enfer. Le contecte de l’histoire reste simple : une prophétie parle de
la fille de Satan qui va dominer le monde et Betsy (et aussi Sinclair) vont
chercher à en savoir plus sur elle.
Betsy va aussi
en apprendre plus sur ses réels sentiments envers le vampire.
Il y a
beaucoup d’humour, notamment entre les rapprochements fait entre la belle mère
de Betsy (alias « Le Thon ») et Satan qui ont en commun Laura.
J’ai oublié de
parler du tout début : le prologue un (et oui il y en a deux de prologues)
qui débute par « il était une fois ». L’auteur l’amorce comme un
conte tout en tournant son contenu en dérision. J’ai tout simplement éclaté de
rire. Le prologue deux est de même plaisant et nous replonge immédiatement dans
l’univers décalé et léger du roman !
En bref, c’est
une histoire simple qui ne mise pas sur la complexité mais plus sur l’humour,
la simplicité et le naturel de Betsy ! Un très bon tome.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire